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Contrat de prêt immobilier : où trouver les meilleurs conseils pour économiser ?

Un contrat immobilier est un engagement qui nécessite une très sérieuse réflexion vu qu’il engendre toutes sortes de dépenses. Effectivement, plusieurs points de ce contrat doivent être considérés avec minutie, sinon, de grandes pertes d’argent atteindraient l’emprunteur.
Avant de définir exactement la somme à emprunter, il faut impérativement se référer sur ses attributions. Beaucoup pensent, que seul le prix à affecter au projet immobilier compte. Ils ont tout faux puisque ce dernier ne représente qu’une infime partie de ce qu’il va payer plus tard. Cette étude devrait alors prendre en compte du prix d’achat ou de construction du bien, des assurances, des frais à débourser pour l’agence immobilière (s’il y en a), des indemnités de remboursement anticipé, des garanties, des frais reliés aux procédures administratives du bien et finalement des frais du dossier.
Par conséquent, se faire beaucoup de bénéfices revient à solliciter l’aide des sociétés de courtage, représentées par des courtiers ou tout simplement des courtiers individuels. Opérant dans ce monde depuis toujours, ils sont les mieux placés pour conseiller les aspirants dans leurs choix. Ils peuvent montrer à l’emprunteur tout ce qu’il faut savoir et avoir pour obtenir un bon contrat. À partir de cela, ils peuvent procurer à celui-ci des renseignements sur comment trouver les meilleures offres pour effectuer le prêt. Une excellente offre est synonyme de taux très bas avec des frais de dossiers plus ou moins raisonnables.
Généralement, ces conseils tournent autour du dossier à monter pour que le profil intéresse le banquier. En effet, pour s’attendre à se faire des bénéfices pendant un contrat immobilier, il faut au moins que le dossier soit recevable. Pour un résultat positif de la part des banques, il faut, dans le pire des cas, un bon profil. Ce qui signifie qu’il ne faut jamais négliger cette étape. Ce dernier est surtout basé sur la faculté d’épargner de l’emprunteur, le taux d’endettement, la vie personnelle et finalement l’apport personnel.
Une fois les paperasses acceptées, l’emprunteur procède à l’étape des négociations, la plus importante, qui garantirait soit pas mal d’économie, soit une perte importante d’argent. En tout cas, les paramètres qui doivent être assujettis à des négociations sont surtout le taux d’intérêt, les assurances, les indemnités de remboursement anticipé et puis les frais de dossier. Et des fois, la durée de remboursement peut changer énormément de choses. Seulement, la meilleure façon de s’en sortir vainqueur est la coopération avec un courtier de renom.
Les assurances représentent l’un des facteurs les plus onéreux pour ne pas dire que c’est le cas. Il faut, de ce fait, bien savoir choisir les organismes avec qui traiter. Les emprunteurs peuvent toujours avoir le choix entre la banque du prêt elle-même ou encore les compagnies d’assurances. Pour ce qui est de la banque, ses assurances représentent vraiment beaucoup comparées aux compagnies. C’est pour cela que la plupart vont voir ces dernières pour les leur confier. Il est plus profitable pour le compte du contrat de prêt immobilier de disposer de plusieurs types d’assurances. Ceci joue beaucoup en faveur des emprunteurs étant donné que la sécurité pour leurs investissements est la seule préoccupation des banques. Donc, il peut effectuer une assurance décès, une assurance perte d’emploi ou encore une assurance invalidité. Dans tous les cas, si rien n’arrive à l’emprunteur jusqu’à l’aboutissement du contrat, toutes ces sommes lui reviendraient.
Bref, pour économiser assez au point de ne pas occasionner des pertes, il faut, au moins, être un bon négociateur et savoir appuyer là où il faut. Toutefois, ce n’est pas donné à tout le monde donc avoir l’aide des courtiers serait plus que suffisant. Les économies dans ce domaine concernent surtout l’argent à ne pas dépenser pour le compte de la banque.




Mon apport : quelles garanties pour convaincre mon banquier ?

Dans le cadre du financement d’une acquisition immobilière, l’apport est une des garanties exigées par la banque. En général, la banque fait d’avantage confiance aux particuliers qui présentent un bon profil, c’est-à-dire ceux qui peuvent fournir toutes les « garanties » nécessaires. En plus de l’assurance, « l’apport personnel » est un élément incontournable, quel que soit sa forme.
Pour la banque, un apport est rassurant puisqu’il va lui permettre de financer une partie de son projet. C’est une manière pour l’emprunteur de soutenir son projet comme étant solide, sérieux et réaliste face au banquier.
Un « apport personnel » peut avoir deux formes principales : il est le fruit d’une épargne, ou d’une donation. Il existe divers formes d’épargne accepté par les banques comme étant des « apports personnels » tels que la participation entreprise, l’héritage ou le prêt à taux réduits. Ces derniers sont des aides subventionnées par l’Etat ou d’autres organismes qui ont pour but de faciliter l’emprunt logement à des ménages en difficulté. Parmi eux, on distingue le «prêt action logement », le « prêt Epargne logement », le « prêt à taux zéro ». Beaucoup d’emprunteurs font l’erreur de ne pas se renseigner sur leur droit à obtenir ce genre de crédit à taux réduits, mais c’est surtout par ignorance. La souscription à l’un de ces prêts peut garantir de manière fiable votre prêt et rassurer la banque.
Cet apport est un élément généralement présent dans le contrat de prêt, d’autant plus que la banque exige un montant minimum. Ce montant diffère d’une banque à l’autre mais en général, il est vivement conseillé de faire un apport minimum de 20% du prix d’achat. Selon vos possibilités, vous pouvez augmenter cet apport autant que vous le souhaitez.
Quoi qu’il en soit, il est plus sage de ne jamais verser toutes vos liquidités dans cet apport. En effet, un apport personnel doit rester une simple garantie pour la banque. Il est important de mettre de côté quelques sommes pour prévoir d’éventuels frais ou encore des travaux à faire. Un ménage sans épargne de sécurité risque d’avoir du souci à se faire en cas de coup dur. Votre banquier doit s’assurer qu’il vous reste assez d’argent pour parer à certains imprévus ou faire face au quotidien. Il ne faut pas confondre apport et mensualités car l’apport provient généralement d’une épargne stable, tandis que les mensualités seront versées à partir de l’épargne dégagé des revenus mensuels du ménage ou de l’emprunteur.
De plus, un apport personnel permet d’avoir une certaine marge de négociation lorsque cette phase arrivera. La banque prendra en effet votre dossier au sérieux et pourra octroyer des marges intéressantes. Il ne faut pas oublier que cet apport c’est déjà aussi une partie du capital en moins à rembourser. L’économie engendrée n’est donc pas du tout négligeable surtout lorsque le montant emprunté est important.
Il est important de souligner qu’il reste possible de faire un prêt sans apport personnel. Mais en contrepartie, la banque peut exiger une clause plus ferme sur les garanties ainsi que les assurances. Si la banque estime que votre assurance décès n’est pas suffisante pour accepter votre dossier, il vous faudra souscrire à des assurances complémentaires. Il en est de même pour les garanties.






Négocier mon prêt : comment faire baisser le taux d'emprunt ?

Renégocier votre prêt signifie que vous souhaitez économiser sur le coût final de votre crédit. Vous souhaitez procéder à cette renégociation parce que vous estimez que votre taux d’emprunt actuel est trop élevé. En abaissant votre taux d’emprunt, vous ferez un gain certain car le nouveau taux s’appliquera à l’ensemble du capital restant dû.
En général, les conséquences sont plutôt avantageuses. Le nombre de mensualités ne change pas ainsi que la durée. Le montant des échéances est le seul élément qui va baisser. Vous disposez à cet effet, de deux solutions pour renégocier votre crédit.
Premièrement, vous vous adressez directement à votre banque. Vous négociez avec elle une baisse de votre taux d’emprunt pour les remboursements restants à courir. Cette démarche est loin de plaire à votre banquier. Pour qu’il accepte, il faudrait avant tout que vous lui proposiez une contrepartie. Compte tenu de tous vos arguments, votre banque n’accepte pas votre offre, changez de voie.
C’est le moment de vous adresser à la concurrence. En déposant des demandes d’offres de prêt dans de nouvelles banques, vous disposerez plus facilement d’un large choix. Optez pour le taux le plus bas bien évidemment. Ce nouveau prêt doit vous servir à rembourser le premier emprunt afin de diminuer vos mensualités et vos intérêts en conséquence. Si une offre vous est faite au taux que vous souhaitez, prévoyez des frais liés à de nouvelles assurances et garanties ainsi que les pénalités liées au remboursement anticipé.
Cette méthode est profitable tant que les taux du marché soient bas et à condition d’avoir un bon profil. Par conséquent, l’étude de vos relevés de compte, de votre taux d’endettement, de vos crédits à la consommation si vous en avez et bien sûr, de votre « reste à vivre » est crucial.
Au cas où vous ne trouvez pas de taux d’emprunt adéquat sur le marché, il vous reste deux solutions : soit vous faites jouer la concurrence pour faire baisser le taux, soit vous faites appel à un courtier. Le courtier présente l’avantage de vous faire gagner non seulement du temps mais de l’argent. Malgré le fait que ses services soient payants, son intervention pourrait vous faire gagner plus d’argent que vous n’espériez.